Le Paris FC a enregistré un quatrième match nul consécutif en Ligue 2, cette fois contre Annecy (0-0), suscitant la colère de Maxime Lopez, qui a exprimé son mécontentement envers l’arbitrage.
Depuis le rachat du club par la famille Arnault et Red Bull, le Paris FC cale. Le club n’a remporté que deux matchs depuis le 9 octobre. Cette situation a profondément frustré Maxime Lopez, qui n’a pas hésité à critiquer la performance de l’arbitre Rudy Buquet après la rencontre.
«Franchement Annecy, belle équipe ! Rien à dire, ils sont venus avec leurs idées. On avait tendance à affronter des équipes qui changeaient leur disposition contre nous. Aujourd’hui, on a vu une équipe d’Annecy qui est restée dans son truc» , a d’abord introduit l’ex-joueur de l’Olympique de Marseille au micro de beIN SPORTS. «Maintenant, j’aimerai bien qu’on ouvre le dossier arbitre. Je commence à en avoir un peu marre. Tous les week-ends en Ligue 1, c’est la même chose, tous les week-ends en Ligue 2, c’est la même chose. Aujourd’hui, j’aimerai bien qu’on m’explique comment il ne met pas rouge en première mi-temps. Je ne cherche pas des excuses, attention ! On ne mérite peut-être pas de gagner cet après-midi, mais je commence à en avoir plein le cul de se faire avoir par les arbitres» , a dit Maxime Lopez.
La VAR en Ligue 2, et vite
«Pour moi, il y a carton rouge en première, il y a penalty sur (Alimami) Gory, il nous met carton jaune … Les week-ends se suivent et se ressemblent» , a insisté le joueur passé par Sassuolo et la Fiorentina. «Même ceux qui arbitrent en Ligue 1 sont rétrogradés en Ligue 2, on se demande pourquoi. Pourquoi on ne met pas la VAR en Ligue 2 ? C’est simple ! En Serie A, en Italie, ça fait dix ans qu’elle y est, en Allemagne c’est pareil, de partout c’est pareil…»
«Pourquoi on ne la met pas en Ligue 2 ? C’est le championnat le plus délaissé du monde, voilà. Maintenant, je ne m’arrête pas là-dessus. Bravo à Annecy, ils ont fait un bon match, ils ont une belle équipe. Il n’y a rien à dire, ils nous ont bien embêtés mais au bout d’un moment, il faut arrêter de nous prendre pour des cons. On est ambitieux, on a des objectifs, mais là ça fait trop»